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 La haine reste un frein à tout avenir {terminé}

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Roxy J. Deshanel




TAKE CARE OF YOU, I'M
Roxy J. Deshanel


MESSAGES : 17
DATE D'ARRIVEE : 20/07/2010


La haine reste un frein à tout avenir {terminé} _
MessageSujet: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} EmptyMar 20 Juil - 12:24



roxy jaëlys deshanel
La haine reste un frein à tout avenir {terminé} Iconeamber La haine reste un frein à tout avenir {terminé} Iconeamber05 La haine reste un frein à tout avenir {terminé} Iconeamber10 La haine reste un frein à tout avenir {terminé} Iconeamber01
« Il n'y a que l'instinct pour pousser un être à survivre»
Roxy. Ma mère m'a ainsi nommée pour faire vivre à travers moi un rêve de petite fille. J'ai vingt ans depuis quelques jours, un anniversaire que je n'ai d'ailleurs pas fêté en ce mois de juin. Je me fiche de mon âge et encore plus de ma vie. Pour survivre, j'enchaîne les courses de moto et je mets ma vie en danger chaque minutes. Ne vous y trompez pas, j'en éprouve un sacré plaisir. La liberté, il n'y a que ça de vrai à mes yeux... J'aimerais tellement m'évader, tellement loin que personne ne pourrait jamais me retrouver. Parfois j'y songe, et dans ma tête défile des paroles qui ne devraient pas y être, des chansons mélancoliques qui définissent si bien ma vie. Je suis de Miami, et il faut savoir que j'ai déménagé il y a quelques années pour Bodie. Une ville perdue, dans le désert et le sable. Très réjouissant. Mais à vrai dire ce n'est pas dramatique. Je saurais me trouver des activités ici également. Mais je suis un oiseau libre et brûlant. Je n'ai pas d'interdits.

Je gagne pas mal d'argent mais je le perd aussitôt pour des bêtises, comme j'ai perdu tous mes rêves et tout mes espoirs. En réalité, votre opinion m'importe peu. Je suis une femme très impulsive et surtout grande gueule. Véritablement sauvage, celui qui me touche ou s'avise de me critiquer risque de passer un sale quart d'heure. Déterminée à ne pas me laisser marcher sur les pieds, je peux être ainsi agressive sans raisons particulières. Je me sens attaquer facilement, et ainsi je peux blesser les autres ou sortir les griffes sans particulièrement m'en rendre compte. J'ai appris que dans la vie, on ne pouvait que compter sur soi même et ainsi, je reste très égoïste. Je pense sans cesse à moi avant de penser aux autres, incapable d'être généreuse tant je me méfie d'autrui. Je crois n'avoir jamais vraiment fait confiance à quelqu'un et j'ai réussit encore à ne m'attacher à personne. Dès que je sens que je vais près des autres, je m'éloigne tout de suite, je ne sais pas aimer et je ne saurais jamais. Je pense que c'est une façon de ne pas souffrir à nouveau d'une perte. On dit également de moi que je suis une femme frigide et je ne laisse jamais aucun homme me frôler sans recevoir un coup de poing. J'ai des tendances à la violence mal dissimulée, et je n'hésite pas à plaquer contre le sol quand on me cherche de trop.

Je vis encore chez mes parents. Enfin vivre est un grand mot puisque je passe mon temps dehors. Je n'ai pas vraiment de passions hormis la vitesse et le sexe. Une dose de plaisir en plus. Je manipule mon monde pour n'obtenir que ce que je veux et je me contre fiche de la personne en face de moi. Une nuit. Mes relations ne s'arrêtent qu'à quelques heures avant que je ne disparaisse sans un mot. Voilà sans doute pourquoi je suis Sex and selfish pleasure.



« Les jours coulent et s'écoulent mais n'ont pour moi, désormais, plus aucunes saveurs. Si autrefois, j'avais conscience du changement que proposent les saisons ou encore du changement temporel, le soleil cédant sa place à sa soeur la lune etc, aujourd'hui, je vis sans plus faire attention à la flagrance des fleurs ou encore à la chaleur d'un rayon doré. J'aurais aimé que tu prennes conscience que de toi, tout dépendait, mais visiblement, j'étais seule à croire en une histoire qui n'existerait jamais. »

C'est une goutte de pluie qui salua une naissance que mes parents étaient fiers de voir enfin. Après avoir essayé pendant des années d'avoir un enfant suite à sa fausse couche, Jaëlys Deshanel avait désespéré voir abandonné l'idée d'être un jour mère, de porter en son sein le fruit d'un amour qui avait survécu aux affres du temps. Visiblement, la blondeur de l'ange finit par lui ouvrir les yeux, ce matin dans sa chambre d'hôpital, et alors que l'arc en ciel s'étendait sur l'horizon de la petite bourgade où elle vivait avec son mari, une larme glissa sur son épiderme nacrée avant de s'éclater sur la joue de cet enfant qui allait changer son existence. Et ce n'était pas peu dire puisque son mari, marine dans l'armée américaine, décéda quelques mois plus tard, la laissant seule avec cette petite fille dont les prunelles illuminées lui offraient des jours de joie inespérés. Pour ce minois, et cet ange qu'on lui avait enfin accordé, elle ne se laissa pas aller au chagrin, devenant une mère dévouée voir trop protectrice.

Je ne saurais que plus tard à quel point elle m'avait aimé encore trop jeune pour comprendre ce que le regard de ma mère pouvait signifier. Les années, je ne les vis pas s'étendre puis disparaître, même si mon miroir me renvoyait souvent une image tout à fait différente de celle d'hier. Les boucles blondes encadrant mon visage étaient de plus en plus nombreuses, plus longues, mes yeux miroitaient tandis que mes prunelles s'agrandissaient sur mon visage d'enfant. Ma mère me prédisait une carrière de mannequin ou de star, sous entendant que personne ne pouvait être plus jolie que moi. Personnellement, je m'en moquais légèrement, aimant à porter des survêtements et à me conduire comme un garçon. J'aimais le sport comme le beach volley ou encore la natation, pratiquant régulièrement également l'équitation. J'étais une jeune fille que tous mes amis qualifiaient de « feu follet » Jusqu'à ma Best friend qui me regardaient souvent en riant tout en frappant sur mon épaule, sous entendant que l'on ne me changerait jamais. Mais elle se trompait. Dans tous les contes, le vilain petit canard finit par devenir un cygne, et même si je repoussais cette éventualité de plus en plus, elle était une image de mon futur. Quand ma mère me souligna un soir une nouvelle fois combien j'étais belle, j'eus un sursaut de rébellion qui me conduisit à tout couper. Les cheveux courts mettaient en valeur mon visage aux pommettes hautes et au regard franc, où luisait dangereuse, la flamme d'un caractère indomptable. J'étais de ces filles à la grande gueule et à la fierté innommable et surtout je détestais perdre ne serait-ce qu'un jeu. Je devais être la meilleure partout, ce qui expliquait mes excellents bulletins scolaires, mes médailles et autres dans les sports où je me donnais la tête. Il est toujours difficile dans l'entourage de supporter le feu quand on est éprit de calme, mais l'opinion des autres m'avaient toujours peu importer. J'aimais être libre, un phoenix qui battaient des ailes dans un ciel même orageux, plutôt que douillettement installé dans un cage d'or au milieu d'un salon vide de toute décoration.

Si simplement j'avais su où cette personnalité me menait ...

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦

L'adolescence laisse un goût de changement sur la langue. Un goût amer. J'étais pourtant à l'aise dans la vie que je menais, profondément bien et surtout entourée de gens que j'avais appris à aimer. Jusqu'à cette fille qui s'avançait vers moi et à laquelle je devais annoncer une bien mauvaise nouvelle, aussi bien à mes yeux qu'elle le serait pour les siens. Me redressant sur la chaise de cette cafétéria où nous avions déjà pris nos marques, je levais la tête, plongeant mes yeux dans les siens avant de souffler. « Je dois t'avouer quelque chose... » La gorge obstruée, je glissais ma main fine dans mes cheveux, me demandant comment lui annoncer cette chose qui ne souhaitait visiblement pas sortir. Je ne l'avais appris moi même que ce matin, et là où d'autre auraient tempêté et pleuré, j'avais tout simplement tue ma rancœur pour ne dire que simplement non. Je n'avais pas envie de changer de vie simplement parce qu'une mère qui m'avait fait jusqu'à lors passer avant tout, s'était entiché d'un vieux croûton de professeur d'université en vacance dans les parages pour le mois précédent. Un mois de relation et elle voulait déjà le suivre à l'autre bout du monde? Et moi dans tout ça, que devais je dire? Visiblement mon avis ne comptait pas puisque la décision avait été, semble t-il, prise depuis longtemps sans que le courage de l'un ni de l'autre ne leur permettent de m'annoncer cette nouvelle pourtant si décisive dans mon existence. Tripotant ma pomme, le vert me paraissant soudainement tellement attrayant, je serrais les dents devant ma propre faiblesse tout à fait indigne de moi même. Je ne voulais pas passer pour une lâche incapable de dire à une amie chère qu'elle partait! Une amie qui commençait à entrevoir mon propre désarroi. Effectivement, je sentis soudain la fraicheur de ses doigts sur mon poignet tandis qu'elle me chuchotait des paroles que je ne compris tout d'abord pas. Elle répéta, les traits de son visage me témoignant de plus en plus une vive inquiétude. « Qu'est-ce qui ne va pas Rox? » Un surnom qu'elle m'avait donné à mes cinq ans. J'aurais pu me laisser aller à ces souvenirs qui allaient bientôt devenir plus que nostalgiques, laisser les larmes rouler sur ma peau pour finalement m'effondrer dans ses bras mais je n'avais jamais été aussi faible. J'avais toujours tenu à être plus forte que les autres et à être celles que laquelle on se reposait. Je ne pouvais donc décemment craquer et je relevais la tête, les prunelles luisantes quand tout à coup u cri retentit. « Hey Roxy, tu viens à la fête Samedi?! » Nous étions tous amis dans ce collège, nous nous connaissions tous les uns les autres et pourtant bientôt ce ne serait plus le cas. Je serais seule parmi des visages inconnus et qui m'étaient pour le moment complétement indifférent. La rage que je ressentit alors, cette haine que je tournais pour le moment contre cet homme qui me ravissait ma mère et mon existence, me força à me lever et à regarder ce garçon contre lequel je hurlais. « Non, je ne viens pas! » L'assistance se tût, muet devant cette soudaine véhémence qu'ils n'entrevoyaient jamais. Satine se leva alors avant de poser sa main sur mon bras pour me demander encore une fois ce qui n'allait pas. La regardant tout en lui prenant les mains, je finis par lâcher la triste vérité. « Je vais devoir partir dans le Texas » Le nom de cette ville étant tout à fait imprononçable et peu désirée, je ne réussis pas à le lui dire mais ce n'était pas la peine. Mais j'allais réellement amèrement regretter ce voyage qui me pousserait dans les affres d'un désespoir peu voulu.

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦

Coucou Jena

Je suis tombée amoureuse. Il est tellement craquant et surtout il prend soin de moi. J'ai l'impression de n'avoir jamais attendu que lui. Son sourire et son regard bleu ciel me transporte tandis que je souhaiterais passer ma vie dans ses bras. Moi qui ne voulais pas déménager je me retrouve folle d'un homme que je ne connais que depuis trois jours!! Il se nomme Léandro, et c'est un italien tzigane. Il parle plusieurs langues et m'a approché en italien. Je n'ai pas mis longtemps à craquer pour son regard azur.

Jena !!

Il m'a demandé en fiançailles. Trois ans qu'on est ensembles et il m'a demandé en mariage!! Oui je sais, je n'ai que dix sept ans mais c'est tellement inattendu que j'ai dit oui sans réfléchir. Puis, tu me connais je suis du genre à me lancer facilement mdr !!

♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦

Levant la main devant mon visage, je la plaquais contre mes yeux avant de regarder à travers mes doigts. Respirant profondément, je rejetais ma chevelure blonde en arrière avant de me lever, ignorant les tourmentes qui voulaient me jeter à terre, ignorant ces vertiges donnés par l'alcool. Le changement de villes ne m'avaient pas aidé, bien au contraire, puisque j'étais devenu cette femme complétement amère. « Roxy, tu viens ma belle?! » Attrapant une bouteille de vodka, je la lui lançais fortement à la figure, même si par manque de vision nette, je le manquais. Avec un sourire sauvage, je répliquais froidement. « Va te faire foutre » Je sais, je suis vulgaire et certain me verraient comme une pauvre fille. Je n'ai pas d'excuses et je n'ai aucunes envie qu'on me prenne en pitié. Si bien que je n'avais jamais réagit en public à la mort de Léandro. Je n'avais eu personne sur qui m'appuyait pour pleurer mon homme disparu, si bien que la souffrance s'était muée en une sorte de rébellion mal contenue. Avide de frappe, je ne savais comment m'y prendre si bien que la violence était devenue mon lot. Bien rapidement, j'étais devenue une rebelle droguée et alcoolique, ne s'intéressant à rien et surtout pas aux êtres humains. La peur de m'attacher était profonde et me dévorais de l'intérieure, me donnant la possibilité de vivre à travers le risque et le danger. J'avais quitté le domaine scolaire pour me lancer dans les courses de moto et de chevaux et j'excellais dans ces disciplines bien que je savais pertinemment qu'un jour ma vie serait fauchée, que la vieillesse me serait interdite et franchement je m'en foutais. Quand aux hommes, c'était une nuit voir deux mais pas plus. Je refusais de m'attacher et en réalité, je refusais de souffrir de nouveau. De souffrir comme j'avais souffert de la disparition du seul être que j'avais jamais aimé autant. Je refusais tellement de montrer la moindre faiblesse à ma mère que je n'avais même pas essayé. Je préférais me comporter en voyou des rues, à traîner en gang et à me comporter comme si j'étais dans la jungle. Je m'étais déjà battu au couteau, en portait d'ailleurs la cicatrice qui balafrait ma hanche sur deux centimètres, mais ce n'était rien en comparaison de cette déchirure provoquée par la disparition de la femme qui m'avait mise au monde. En réalité je me retrouvais seule et je m'en sortais parfaitement bien ainsi. Seule et sans avoir besoin de personne. M'approchant de ma bécane, j'y glissais souplement avant de poser le casque sur ma tête lentement. Puis avec un signe de tête à mon partenaire, je hochais doucement la tête avant de lâcher la moto sur la route. Je ne m'étais mis aucun interdit et je vivais mon existence comme si chaque heure était la dernière. Sans avoir spécialement peur de la mort, sans me préoccuper de l'avenir. Je n'aimais personne, le monde m'indifférait. Et le quitter serait tellement simple. Tellement aisé. Mais surtout sans regrets aucun. Puisque je le retrouvais lui. Mais je n'étais pas assez lâche pour fuir. Du moins pas encore.



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Je suis une jeune fille. Vous en doutiez? Faites gaffe car j'ai aussi un caractère de merde (a) Tout ce que vous avez besoin de savoir, c'est que je suis une mordue de l'écriture à laquelle je consacrerais bien ma vie sans condition. Amoureuse de mots, je pourrais les manipuler sans me reposer si la condition humaine pouvait me le permettre. Dans ma tête, j'ai autant quatre ans que plus de mille ans, ma vie ressemble autant à un conte de fée qu'à une banalité. Tout dépens du point de vue. Du mien... j'aime (a) Je suis arrivé ici grâce à mon frère mais chut qu'il ne me reconnaisse pas (a)


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L. Alec Davenport

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MessageSujet: Re: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} EmptyMar 20 Juil - 13:44

:yeh: je ne te valide pas xD

Welcome et merci de ton inscription ; )
Je te valide avec plaisir ; )

N'oublie pas de faire tes fiches de liens, rp et de faire toutes les demandes nécessaires.
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Roxy J. Deshanel




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MessageSujet: Re: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} EmptyMar 20 Juil - 13:54

Tss merci toi :sex:
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A. Illan Turner




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MessageSujet: Re: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} EmptyMar 20 Juil - 14:04

Bienvenue avec du retard ::folie::
En tout cas, très très belle fiche ^^
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Roxy J. Deshanel




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MessageSujet: Re: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} EmptyMar 20 Juil - 14:05

Iannnn :ouahh: Mercii
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MessageSujet: Re: La haine reste un frein à tout avenir {terminé}   La haine reste un frein à tout avenir {terminé} Empty

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