TAKE CARE OF MY MINDS;

Avril 2008

« Dylhànn, je vais demander le divorce. » « Pardon ? » « Tu as très bien entendue, ton père et moi c’es fini on ne peut plus continuer à vivre ensemble. » « Pourquoi ? » « C’est trop long à expliquer. Tu comprendras plus tard. » Et le plus tard à bien fini par arriver plus vite que je ne l’aurais penser d’ailleurs. Alors que je venais tout juste de fêter mes dix-neuf ans depuis quelques mois, ma mère venait de m’annoncer qu’elle demandait le divorce car elle avait surpris mon cher paternel en train de la tromper avec une de ses collègues de travail et tout ça ici même dans notre cher maison, dans la chambre matrimonial pour être plus exacte. Une chance que j’étais à l’université d’ailleurs ce jour là, d’après ma mère. Je ne savais pas ce qui avait pris mon père mais une chose était bien sûr, ma mère était bien décidée à lui faire payer cet adultère et tous les coups étaient permis dès ce jour-là. Il s’en est alors suivit une année bien déchaînée du côté de mes parents. Mon père a finit par nous dire pourquoi il avait trompé ma mère, pour une brun siliconée plus jeune que lui et à peine plus âgée que moi. Il en avait tout simplement marre de la routine et comme depuis quelques temps déjà ma mère voulait revenir à Bodie et que lui se plaisait énormément à Manhattan, il n’avait pas su lui faire part de son choix et c’est alors que, Summer, de son nom est entrée dans sa vie et il n’a pas pu lui dire non. Il nous a dit qu’il avait essayé dans parler avec ma mère mais en vain. Il voulait que la routine qui c'était établie se brise, mais il n'avait pas trouvé mieux que de nous laisser tomber. Bien sûr je lui en ai voulu par la suite car il brisait tout cet équilibre auquel je m'étais habitué en grandissant. Aussi loin , que je m'en souvienne mes parents ne se sont jamais disputés devant moi, alors le fait de les voir se déchirer comme ils le faisaient, était bizarre pour moi. Depuis que j'étais née, on avait toujours former une petite vie tranquille et mes parents étaient toujours aussi unis qu'ils l'étaient avant que je naisse à en croire mes grands-parents et avec leurs photos que je voyais, pour moi ils allaient rester ensembles toute leur vie et vieillir ensembles, mais à en croire les circonstances,ce n'était pas demain la vieille que ça allait se produire. Lorsque ma mère a demandé le divorce, mon père n'a pas essayer de lui faire changer d'avis car d'après lui c'était la meilleure des décisions et je pense que c'est ça qui a encore plus contrarié ma mère qu'elle ne l'était déjà en le surprenant lui et sa poupée siliconée dans leur lit matrimonial. J'ai sans doute l'ai un peu dure mais je n'ai jamais pu pardonner à mon père ce qu'il avait pu faire à ma mère et bien que je m'étais fait à l'idée qu'on ne formerait pas toujours l'heureuse famille qu'on formait tout les trois, sa manière de la faire éclater n'ai pas passer ni avec moi, ni avec ma mère. C'est ainsi qu'après un an de procédure ou tout les coups étaient permis, surtout de la part de ma mère en faite, mes parents ont divorcés et ont mis un terme à l'heure vingt-sept années de vie commune. Quant à moi, je suis restée avec ma mère, prête à l'aider et à la réconforter du mieux que je pouvais pendant cette épreuve, mais la vie à Manhattan, lui rappelant de mauvais souvenir,bien qu'on ai déménagé et laisser de côté notre domicile familial, elle avait envie de déménager, dans une autre ville et ayant toujours voulu retourner dans son Texas natal et comme j'aimais bien Bodie, y étant née et étant venue ici en vacances, on a fait nos bagages et après avoir trouvé un appartement on est revenu ici.

Mai 2010